Dans les sirènes d’usine
Dans les klaxons de cinq heures
Dans le crissement des pneus
Dans le fracas continu de la ville
J’entends la mer
Dans les profondeurs du sommeil
Dans les secrets voyages de la nuit
Dans le noir blessé des néons
Je vois la mer
Et près des réverbères perdus
Je me suis appuyé les soirs de pluie
A la rambarde des trottoirs
Sans parapluie
Dans les klaxons de cinq heures
Dans le crissement des pneus
Dans le fracas continu de la ville
J’entends la mer
Dans les profondeurs du sommeil
Dans les secrets voyages de la nuit
Dans le noir blessé des néons
Je vois la mer
Et près des réverbères perdus
Je me suis appuyé les soirs de pluie
A la rambarde des trottoirs
Sans parapluie
Poème de Gilles Vigneault
sans les mains c'est dur de tenir un parapluie au milieu du trafic de voiture, ceci dit tu tien drolement bien ton appareil.
RépondreSupprimerhub